Aperçu Vampyr, A Plague Tale: Innoncence et Greedfall


J'aime beaucoup ce que fait DONTNOD (Remember Me, Life is Strange). Autant dire que j'attend Vampyr avec impatience!

Pour resituer un peu le contexte, on incarne le docteur vampire Jonathan E. Reid dans un Londres en 1918 touché par un virus.La démo prend place dans le quartier de Whitechapel. On est appelé à la rescousse pour résoudre une situation un peu délicate: une infirmière menace de révéler l'identité de consœur vampire.
On est largué dans un Londres très sombre touché par la maladie. Jonathan a le pouvoir d'écouter les conversations à distance. Ce qui lui permettra de glaner des informations sur le terrain et de savoir qui spécifiquement il faut approcher pour mener à bien sa mission.
Il y a un véritable travail de titan qui a été fait sur la narration puisque chaque personnage possède son histoire propre à dévoiler en trois ou quatre étapes. Chacun d'entre eux dispose d'un sang de plus ou moins grande qualité en fonction de son état de santé. Vous pourrez les soigner... pour mieux satisfaire votre soif de pouvoir l'instant d'après.
Là est tout le dilemme de Vampyr, plus vous avez du sang de qualité, plus vous avez de pouvoirs. Après avoir fait une victime, il faut se reposer pour valider le pouvoir que l'on a acquis. On se réveille le lendemain avec un quartier qui aura changer en fonction de vos actes... Le quartier changera plus ou moins (il y a plusieurs degrés de changement). Le taux contamination, la présence des citoyens, le prix du matériel chez les marchands varieront en fonction de vos agissements.


J'ai pu voir des phases de fights contre des infectés mais aussi contre des chasseurs de vampires. C'est très dynamique mais bien entendu tout cela dépend des pouvoirs que vous avez acquis auparavant...
Moins vous faites de victimes, plus les combats seront difficiles.
Le joueur est vraiment placé dans des cas de conscience et est amener à juger qui mérite de mourir ou non.

France, 1349, Amicia et son frère Hugo sont pourchassés par l'Inquisition en pleine épidémie de peste. La démo de A Plague Tale: Innoncence nous amène sur un champ de bataille jonchés de cadavres. L'ambiance est sombre à souhait et techniquement le titre est vraiment beau.

On est amené à devoir ruser pour se faufiler un passage à travers les rats qui ont envahi le terrain. Amicia dispose d'une fronde qui permet d'allumer à distance des braseros ou du foin. Les rats ont peur du feu et permettront de les éloigner. Il faudra donc ruser un peu parfois et résoudre quelques petits casses-tête. Lorsqu'on l'on tombe sur un ennemi, on peut éteindre sa torcher et ainsi enlever sa protection contre les rats qui feront du pauvre malheureux leur repas.
Le gameplay est donc très orienté sur la gestion de la lumière. C'est originale et atypique mais j’espère que cette mécanique de jeu ne sera pas surexploitée tout le long du jeu.
A noter que la bande-son du jeu est vraiment magnifique et apporte un vrai plus à l'ambiance médiévale.


On termine par Greedfall pour lequel j'ai un véritable coup de cœur. Il s'agit d'un RPG qui prend place au XVIIéme siècle mélangeant baroque et fantaisie infesté par maladie incurable qui a bouleversé le monde tel qu'on le connaissait.
On incarne Sardet et on sera amené à gérer la relation que l'on entretien avec les 5 autres factions. Il s'agit de se montrer diplomatique afin d'éviter des conflits dans un contexte particulièrement tendu.

Avec 80 quêtes, 16 environnements différents inspirés des tableaux de Rembrandt et Vermeer, il y a de quoi s'occuper dans un cadre particulièrement agréable. La direction artistique est une vraie réussite qui se détache du lot. Le mélange de magie et de tenus du XVIIéme fonctionne bien. Les combats associent des armes classiques et des sorts.
Difficile de ne pas penser à un certain Dragon Age dans les mécanimses de gameplay d'autant plus qu'on est amené à choisir deux compagnons (cinq disponibles) qui peuvent être influencer selon vos choix. Ils pourront du coup parfois vous trahir.
Greedfall offre de belles perpesctives en somme.
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