Infiltration pour une preview de Splinter Cell Blacklist

J'ai eu le plaisir de participer mercredi soir à la soirée Splinter Cell: Blacklist  au Club Haussmann. Je me suis faufilé tel un espion au service d'Echelon pour vous faire une preview au péril de ma vie.

Situé 6 mois après Splinter Cell: Conviction, Sam Fisher reprend du service auprès du gouvernement, en prenant la tête de la toute nouvelle unité Echelon 4, qui ne répond qu'à la présidente des USA (On découvre Sam Fisher en tant que Splinter Cell d'Echelon 3 en 2002). Un groupe de terroristes appelé les Ingénieurs, fatigués de l'omniprésence américaine dans le monde lancent un ultimatum aux gendarmes du monde: si leurs troupes ne sont pas rappelées partout où elles sont engagées, ils commenceront à attaquer des intérêts américains. Le BlackList, annoncé par un compte à rebours, commence à tourner.
Echelon 4 sera donc la seule force capable d'accomplir l'impensable pour lutter contre la cellule terroriste.

Au niveau du gameplay, on retrouve un mélange entre les deux premiers opus, avec une liberté de mouvement très importante (grimper, se cacher en se suspendant dans le vide, sauter des obstacles de manière dynamique...).


Mais ce qui est le plus intéressant (hormis le scénario du solo) est le mode multijoueur Merc vs Spies. Refonte du mode de jeu de Pandora Tomorrow, s'y opposent deux équipes: les Mercs et les Spies, chacun dotés de capacités/matériel très différent afin d'accomplir une mission en apparence très simple: défendre ou hacker trois terminaux.

Les Mercenaires sont joués en vue première personne, et reposent sur leur puissance de feu et leur résistance pour défendre le terrain. Au menu, des fusils d'assaut, des mines de proximités et des détecteurs de mouvement inspirés d'Alien donc pour empêcher les Spies de voler les données. Leur équipement font que les Mercs ne courent pas vite, mais en même temps avec leurs plaques d'armures ça me semble difficile. Une sensation de lourdeur à laquelle on se fait vite. Le champ de vision limité est cependant la vraie faiblesse des Mercenaires, ainsi que les zones d'ombres.
Dans les accessoires boostant les capacités, on notera les injections d'adrénaline qui vous rendent plus réactifs, ou encore les différentes armures améliorant le rechargement ou la vitesse de déplacement.

Les Spies quant à eux sont joués en troisème personne, et offrent un gameplay tout à fait distinct de leurs opposants. De vrais montes-en-l'air qui peuvent courir, monter dans les hauteurs d'une map, et sont très fragiles. On ne peut tout bonnement pas escalader un entrepôt avec 30 kg sur le dos. Du coup leur équipement est plus axé sur la contre-détection, les déplacements, la détection des ennemis à travers les murs, ou encore le corps-à-corps. Car oui les Spies ont une attaque qui tue les Mercs en un coup, pour peu qu'ils soient assez proches. Des parties de cache-cache endiablées dans les zones sombres des objectifs est largement conseillées, couplée à une bonne communication de l'équipe. Au niveau de l'armement, ça se rapproche des agrafeuses, impossible d'affronter de face un mercenaire qui est blindé, mais sur un malentendu ça peut marcher.

Le mode est vraiment très prenant, et qu'on soit derrière une mitrailleuse ou caché dans le noir, on stresse. Le concept de rester dans la salle le temps que le terminal soit hacké rajoute encore en tension, car les Mercs savent que le Hacker est quelque part, du coup on devient parano, et on ne fait pas forcément gaffe à ce qui se passe derrière. Et crac. Les autres Spies devront faire diversion, sans quoi le hack sera à recommencer, et sur une partie de 10 minutes ça fait mal.


C'est ce que j'ai appris en participant au concours en équipe de 4. Une manche en Spy, une en Merc, et les meilleurs passaient en finale. Avec mon équipe, on avait décidés de s'appeler les Casual, histoire que si on se faisaient détruire on repartiraient la tête haute. Que nenni, nous nous hissâmes en finale, et grâce au super pouvoir de la chance qui a reboot les consoles quand on perdaient, nous avons prévalus sur nos opposants, malgré leur défense très active.
La dernière épreuve consistait à splitter notre équipe en deux, et de rejoindre deux personnes d'Ubisoft pour la dernière bataille. Dans notre équipe, Maxime Béland (le directeur créatif du jeu) et Sebastien Ebacher (le producteur du monde Spies vs Mercs, et accessoirement une machine à tuer), qui nous ont bien aidés pour récupérer la récompense ultime: Une Xbox 360 avec un DD 320 Go, un an d'abonnement au Xbox Live et une manette Camo édition limitée.

Un grand merci à Ubisoft et à Microsoft donc, pour la soirée super, et l'ambiance au top!

Merci à Alexis, véritable espion dans l'âme! {#}
                                                   

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2 commentaires:

  1. Je suis particulièrement impatient vis-à-vis du multi-joueur ! Toutes les heures que j'ai passées sur Mercs vs Spies... Blacklist a l'air de retourner un peu vers les sources de la série sans négliger le travail accompli jusqu'à présent. Vivement !

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  2. Soirée bien sympa avec plein de devs où nous avons pu réellement tester le solo et le multi :D
    J'ai vraiment hâte qu'il sorte ce jeu!

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