Déballage Assassin’s Creed Odyssey Panthéon édition

Cette année, je n'ai pas craqué pour la grosse statue en résine comme pour Assassin's Creed Origins. En grande partie parce que je me suis promis de ne pas refaire de folie de ce genre mais également parce que cette année, la figurine était vendue seule sans goodies et jeu mais en également moins limitée...
Je me suis logiquement rabattu sur la Panthéon édition qui est sacrément fournie!

On commence par ce steelbook tout rouge qui a tendance faire penser à un certain 300. L'intérieur du steelbook est un visuel que je connais par cœur vu que c'est mon fond d'écran en ce moment! 😎
Le jeu vendu est une version Gold. Sur PC, tout est en dématérialisé. La clé est rattaché à l'adresse mail de la commande.

On a le droit à un extrait de la bande-son du jeu avec 21 pistes. L'album complet en fait 56. C'est une sélection des meilleurs titres en somme.

Dans Assassin's Creed Odyssey, vous êtes amenés à explorer la Grèce antique et ses îles. Pour ça, vous avez un bateau et quoi de mieux qu'une carte pour se repérer?
Au format A3, dommage qu'elle ne soit pas en tissu.

On a une lithographie exclusive d’Athènes au format carte postale. Niveau artistique, Hugo Puzzuoli a fait un travail magnifique. 

L'édition Panthéon contient un jolie artbook au format A5. C'est pour moi bien trop petit pour profiter pleinement du travail des artistes.

Ubi a bien fait les choses avec des logos dorés. Composé de 64 pages, l'artbook nous présente tout le travail effectué en amont par les artistes avant que les équipes de développement se mettent à coder. Aucun spoil, on reste sur les gros éléments du jeu sans révéler des intrigues sytle boss.


On attaque le gros de cette édition collector: les deux figurines! On commence par Alexios qui prend la pose en pleine attaque aérienne.

Le mec est toujours aussi en colère, j'aimerai pas être sa proie. Là encore, difficile de ne pas penser à la fureur spartiate de 300.

La pose est ultra-dynamique, on a vraiment l'impression que Alexios est suspendu dans les airs. C'est vraiment du bon boulot!

A vrai dire, j'ai même un peu peur au niveau de la fragilité de la figurine en elle même. Le pylône grec est d'ailleurs composé en deux parties, ce qui donne un peu de jeu à la figurine quand on la manipule.

La pose est parallèlement parfaite, d'une main la lance brisé de Leonidas, de l'autre un javelot. A la ceinture, on a une épée spartiate. Et dans le dos, on a un arc avec un vrai fil. La figurine est vraiment d'excellente qualité. On retrouve le soucis du détail, on est un cran au dessus de la figurine d'Alexios seul.

Face à Alexios, un pauvre bougre qui est tout de même bien équipé! Il a une sacrée lance...

... avec un énorme bouclier! Sur celui-ci, deux serpents en train de se battre.

Sur le casque, on retrouve également des serpents. Si décidément une obsession chez le bonhomme.
La figurine de l'ennemi d'Alexios est en tout cas aussi imposante que détaillée. Plus massive, elle fait moins dans la finesse dans sa composition mais on voit clairement les différents éléments d'armure.

Les deux figurines alignées, on a un sublime diorama! Les poses sont vraiment vivantes. Par contre, avec les lances, les deux figurines alignées prennent de la place en largeur (une bonne cinquantaine de centimètres).

On peut remplacer la figurine d'Alexios par celle de Kassandra vendue seule mais le résultat est moins impressionnant. Le regard du nemesis est trop orienté vers le haut. Du coup, on a pas l'impression qu'il loupe complètement Kassandra.

Bref
Pour 190€, on a une grosse édition deluxe qui en donne pour son argent. Ubi a cherché à innover en proposant un diorama avec un ennemi. Une première dans la gigantesque collection autour de l'univers d'Assassin's Creed. 
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